31/12/2007

Julie Taton on escape TV.

Est-ce que vous n'avez jamais rêvé de voir la sublimissime ex-Miss Belgique et présentatrice du Good Morning Julie Taton dans des situations plus qu'embarrassantes ? Eh bien, c'est chose faite grâce à Anita et à Raph que l'on surnomme déjà le nouveau Passe-Partout. Notre équipe de choc a en effet fait subir les pires supplices à la jolie Namuroise. 10 épreuves dignes de Fort Boyard comme grimper à un arbre, dire le plus de gros mots possibles en 30 secondes, chanter une chanson de Dalida,...ont eu raison d'elle. A voir sans modération...

12/12/2007


L'animatrice la plus chère
(12/12/2007)

© DEMOULIN
Sébastien a rencontré hier Julie Taton qu'il avait achetée aux enchères pour la somme de 2.500 euros !
BRUXELLES Il a 25 ans, il est chauffeur-livreur et il habite à Oreye, près de Waremme. Jusqu'ici, rien ne distingue Sébastien Haeyaert de Monsieur et Madame Tout-le-Monde. Sauf que c'est lui qui a déboursé le mois passé la somme de 2.500 euros lors d'une vente aux enchères sur eBay au profit de l'association Offrons un sourire , qui vient en aide aux enfants atteints d'un bec-de-lièvre. Son achat ? Julie Taton. Ou, plutôt, une rencontre avec l'ex-Miss Belgique et la participation à son émission sur Radio Contact, le fameux Good Morning .
La rencontre (matinale) a donc eu lieu hier, en direct sur les ondes de la station au dauphin. Mais qu'est-ce qui a bien pu pousser ce jeune homme célibataire, plutôt discret et timide, à débourser une telle somme ? "En réalité, j'ai fait ça surtout pour l'association. Je n'avais jamais participé à une action caritative. Quand j'ai entendu l'appel pour la vente aux enchères avec Julie, je me suis dit pourquoi pas. J'ai commencé à 300 euros, puis ça a augmenté. Je m'étais fixé un montant maximal de 2.500 euros. Quelqu'un avait surenchéri à 2.400, j'ai donc mis les 2.500. Je ne savais d'ailleurs pas que ça s'était arrêté là. C'est en lisant le journal que j'ai réalisé que c'était moi !"
Bon, allez, il va bien nous le dire : il a quand même d'abord fait ça pour rencontrer Julie ? "Non, non, ce n'est pas spécialement parce que c'était Julie Taton. J'ai surtout fait ça pour l'association." Vraiment uniquement pour ça ? Allez, allez... "Bien sûr, ça fait toujours plaisir de rencontrer une personnalité connue. On a d'ailleurs eu un très bon contact. C'est une rencontre que je ne regrette pas. C'est une très jolie fille et elle est sympathique. Elle m'a tout de suite mis à l'aise, d'autant que je ne m'attendais pas à participer à l'émission."
Julie, de son côté, était évidemment flattée d'avoir fait monter les enchères aussi haut. Car on a beau dire que c'est d'abord pour la bonne cause, les autres animateurs qui participaient à l'opération n'ont pas dépassé les 500 euros. Ce qui en soi est déjà pas mal. Mais Julie a fait sauter la banque. Même en Flandre, aucun B.V. n'a atteint ce niveau. "C'est clair que ça me fait plaisir. Je ne vais pas faire de fausse modestie. Mais ce qui est sympa, c'est que ce n'est pas uniquement pour me rencontrer, mais aussi pour aider les enfants. J'étais en tout cas surprise du montant. 2.500 euros, c'est énorme. C'est plus qu'un salaire normal. En plus, c'est quelqu'un de jeune. Offrir ça spontanément pour une si belle cause, c'est génial. Je suis d'ailleurs prête à recommencer si on me le demande. J'avais ainsi déjà aidé cette association par le passé en vendant des Bics. C'est quand ils veulent !"
Frédéric Seront
© La Dernière Heure 2007

Campagne de pub pour la poste.


10/12/2007

Julie Taton enceinte de 9 mois.



Qu'on se rassure, c'est pour la pièce du Télévie 2008 où elle se marie avec Luc Gilson...
Le compte à rebours est enclenché !

Alors que tout le monde pense pour l'instant aux achats de Noël, la troupe du Télévie a par contre déjà le regard tourné vers début 2008.

C'est dans à peine plus d'un mois, le 10 janvier très exactement, que les animateurs de RTL donneront la première représentation de la pièce du Télévie 2008, dont tous les bénéfices seront une nouvelle fois reversés au profit de la recherche contre la leucémie.
Cette année, Jean-Paul Andret est allé dénicher une pièce d'Olivier Lejeune, Tout bascule, qu'il nous promet encore plus drôle que le précédent spectacle, Le surbook , qui nous avait pourtant déjà offert quelques éclats de rire mémorables.

"Comme chaque année, j'ai lu des dizaines de pièces et j'ai vraiment flashé sur ce texte", explique Jean-Paul Andret.

"Il me fallait quelque chose de drôle et de familial, qui corresponde aussi aux animateurs avec qui je travaille.

Tous les critères étaient remplis.

C'est une pièce qu'Olivier Lejeune joue depuis 5 ans.

Je l'ai contacté et il a immédiatement accepté de donner les droits.

Il était enthousiasmé à l'idée que ce soit au profit du Télévie.

Il a déjà promis de venir voir une représentation."
Comme on peut s'en douter, il s'agira une nouvelle fois d'un vaudeville.

On suivra ainsi les déboires d'un publicitaire (Luc Gilson) le jour de son mariage avec Corinne (Julie Taton), enceinte de 9 mois.

À partir de là, une succession de quiproquos et de catastrophes va l'empêcher d'assister au banquet.
Comme chaque année, Jacques van den Biggelaar fera partie de la distribution, dans le rôle du mari de la maîtresse de Luc Gilson (vous suivez ?).

Hakima Darhmouch campera de son côté la soeur de Luc Gilson, alors que Christian De Paepe interprétera un candidat à la présidence de la République et que Jean-Paul Andret apparaîtra dans la peau d'un journaliste.

Enfin, une petite nouvelle a rejoint la troupe, Fanny Jandrain, dans le rôle de la maîtresse ! "C'est presque une vraie pro, puisqu'elle est en quatrième année au Conservatoire de Mons ", explique Jean-Paul Andret, sous le charme.

"D'ailleurs, je m'en rends compte durant les répétitions. Lorsque je donne des instructions, elle réagit au quart de tour ! Les gens vont la découvrir."
Jean-Paul Andret est d'ailleurs épaté par sa troupe, qui au fil des saisons ne cesse de s'aguerrir. "À la base, la plupart n'avaient pourtant jamais fait de théâtre.

Mais ils se sont vraiment révélés.

Il est vrai qu'ils ont quand même un avantage par rapport à une vraie troupe d'amateurs puisque, en tant qu'animateurs télé, ils ont l'habitude de parler en public.

Il y a déjà chez eux une aisance naturelle.

Le plus dur, en fait, ce sont les répétitions.

Ce n'est pas facile de concilier les horaires de chacun.

Julie fait de la radio le matin et aimerait rentrer tôt, mais on doit attendre le soir qu'Hakima ait fini le JT pour commencer...

C'est assez fatigant.

Mais la récompense, c'est la réaction du public. Lorsqu'on fait rire les gens 1 h 30, ça efface la fatigue des 30 répétitions."
L'an dernier, Le surbook avait attiré 12.500 spectateurs. Cette année, la troupe vise les 15.000 places vendues !

"On a réservé des salles encore plus grandes cette fois-ci !"
Frédéric Seront
© La Dernière Heure 2007

26/11/2007

01/11/2007

Give a smile




Julie Taton pour 2550€ sur eBay

Jusqu'à dimanche, Julie Taton est à vendre sur eBay. Mais les enchères sont hautes: 2550€! Sandrine Corman, Barbara Louys ou Johan Museeuw sont aussi à vendre. Une recherche de fonds pour l'organisation Offrons un sourire.
Les chaussures médaillées de Kim Gevaerts à Osaka pour 180€, une leçon de conduite avec Fabrice Brouwers pour 355€, la vareuse de Logan Bailly pour 51€, une visite d'RTL avec Sandrine Corman pour 325€, le t-shirt de David Antoine pour 10€, un cognac de Barbara Louys pour 51€, une promenade à vélo avec Johan Museeuw pour 60€... De nombreux lots à acquérir jusqu'à dimanche sur eBay.
Ces lots et une multitude d'autres sont offerts aux enchères des internautes au profit de l'association Give a Smile. Cette associations lutte pour aider les parents d'enfants atteints de division labio-palatine. Autrement dit, de malformation congénitale de la lèvre, de la mâchoire ou des deux. La vente aux enchères doit donner un coup de boost financier et médiatique à une organisation qui a déjà soigné 700 enfants depuis 2001 avec 800.000€.
Les enchères se terminent dimanche. D'ici là, il y a très peu de chance qu'un des people participant ne battent le record de Julie Taton. L'animatrice de RTL House offre en effet au meilleur enchérisseur une place à ses côtés dans le Good Morning de Radio Contact. Un lever matinal qui s'élève ce mardi à... 2550€! Pour cette somme, cet acquéreur sait-il qu'il pourrait racheter une partie du studio?
(Julien RENSONNET)

Julie Taton cartonne
(29/10/2007)

© BAUWERAERTS


La vente aux enchères de l'animatrice dépasse les 2.500 euros sur Ebay
BRUXELLES

Depuis jeudi, plusieurs animateurs sont en vente sur Ebay au profit de l'association Offrons un sourire .

Alors qu'il reste 6 jours pour clôturer les enchères, c'est Julie Taton qui semble le plus séduire les internautes.

L'animatrice du Good Morning de Radio Contact en était déjà hier à plus de 2.500 euros d'enchères.

En comparaison, Sandrine Corman et Fabrice Brouwers sont à 200 euros. Mais rien ne vous empêche de faire monter leurs enchères également.
Pour rappel, les gagnants ne ramèneront évidemment pas chez eux leur animatrice ou leur animateur préféré, mais remporteront quelques heures en sa compagnie.

Pour Julie Taton, le gagnant assistera ainsi au Good Morning . De son côté, Fabrice Brouwers offrira un baptême en VW Fun Cup tandis que Sandrine Corman servira de guide lors d'une visite des coulisses de RTL...
F. S.
© La Dernière Heure 2007

23/10/2007


Ce dimanche, RTL TVI diffusait un prime du “71” à l’occasion des 20 ans de la chaîne avec les animateurs de la chaîne et la présence de deux figures de RTL Radio : Philippe Bouvard et Georges Lang…

Le public a suivi en masse…

Le jeu de Jean-Michel Zecca spécial “RTL TVI 20 ans” a été leader avec 535 596 téléspectateurs (PDM de 28.5 %).

La Une arrive en seconde position avec “Le Jardin Extraordinaire” (336 000 téléspectateurs/PDM de 18.4 %) mais se fait vite dépassée par TF1 dès le générique du film “Le Transporteur”.

La fiction de la chaîne française totalise 397 970 téléspectateurs, soit une PDM de 21.7 %.

21/10/2007

Julie



TV 20 octobre 2007

Dans la série des émissions spéciales pour les 20 ans de RTL TVI, le jeu de Jean-Michel Zecca n’échappera pas à la règle…
A cette occasion, les animateurs de la chaîne seront présents avec en plus la présence de Philippe Bouvard et Georges Lang. Sandrine Dans, Sandrine Corman, Nicolas Buytaers, Agathe Lecaron, Philippe Malherbe, Bérénice, Luc Gilson, Jean-Paul Andret, Kathryn Brahy, Dominique Demoulin ... mais aussi deux invités bien connus de RTL : Philippe Bouvard et Georges Lang seront de rudes candidats pour la spéciale du jeu “71”.
Pour cette émission diffusée à 20h20, ils joueront en couple : une personne du public et une figure de la chaîne.
Ils seront confrontés aux animateurs et journalistes de RTL TVI, aux meilleurs joueurs du 71 depuis 4 ans, et à 20 personnes âgées d'exactement 20 ans.
Et pour fêter ses 20 ans, des questions spéciales sur l'histoire de la chaîne mais aussi sur l'actualité de ces 20 dernières années !
Un moment avec un peu de nostalgie et surtout beaucoup de rires et d'humour en perspective... Impressions de quelques animateurs à la fin du tournage… “Le tournage s'est passé plutôt sympathiquement” nous confirme Alain Simons.
“L'ambiance était très agréable.
Ce qui était drôle c’était l'excitation de Jean Barbera inversement proportionnelle à la quiétude de Philippe Bouvard.
Il y avait des pièges dans les questions, ce qui est évidemment plus rigolo, surtout quand on plonge en étant absolument certain de connaître la bonne réponse...”
“Le tournage fut chaud et légèrement tendu” souligne Frédéric Bastien, animateur sur Bel RTL. “Je me suis pris au jeu, malheureusement, il s’est assez vite achevé pour moi, mais je suis resté hyper concentré au cas où, par chance, j’aurais été repêché.
Ce qui ne fut, hélas pas le cas.
L’ambiance était chaleureuse, et parfois survoltée grâce au chauffeur de salle magnifique (c’est un vrai métier que j’admire)…
Personnellement, ce fut l’occasion d’une belle rencontre avec Maria del Rio et une autre occasion, lors des pauses pub de parler « country music » avec Georges Lang qui se trouvait juste au-dessus de moi.
Une anecdote ?
Elle ne m’en voudra pas, j’en suis sûr !
Kathryn Brahy, ma complice des petits matins sur Bel RTL était drôle, parce que « stressée » comme avant un examen à l’unif’.
Tentant de réviser ce qui a pu marquer ces 20 dernières années.
Et il s’en est passé des choses.
Je me suis moqué un peu d’elle, mais pas trop méchamment.
Finalement, nous avons été éliminés pratiquement dans le même temps…
J’aurais voulu aller beaucoup plus loin.
La célèbre réplique « quand je suis chez moi, je réponds à tout. Et ici… » me venait à l’esprit en permanence.
Mais ce fut une expérience très sympa… et j’y ai pris beaucoup de plaisir, comme à chaque fois que je me retrouve sur un plateau de télé.”
Pierre Bail, animateur de “Luna Park” nous donne également son impression : “L’enregistrement s’est passé dans les meilleures conditions possibles,
L'ambiance des grands jours de fêtes bien sûr.
Philippe Bouvard et Georges Lang étaient à nos côtés pour se mesurer aux meilleurs candidats du 71 et ceux-ci étaient déchaînés.
D'une manière générale, je pense que les animateurs de la chaîne ont du plaisir à se retrouver lors de ce genre d'émission.
C'est aussi l'occasion de rire des blagues et des pitreries de Christian De Paepe et Jacques van den Biggelaar qui sont de vrais clowns.
Un moment drôle de l’émission, c’est quand une candidate a caressé le crâne d’Alain Simons en disant: "je fais comme à Mons, ça porte bonheur"... sauf qu'à Mons c'est un singe que l'on caresse !!!”.
Le “71 des 20 ans” ce dimanche 21 octobre à 20h20 sur RTL TVI.
Fabrice Staal fabrice@tuner.be
Photos : © RTL

Le 71 de 20 ans.


Dans la série des émissions spéciales pour les 20 ans de RTL TVI, " Le 71 des 20 ans " !
Jean-Michel Zecca recevra, sur le plateau de sa quotidienne, tous ses collègues de RTL TVI : Sandrine Dans, Sandrine Corman, Nicolas Buytaers, Agathe Lecaron, Philippe Malherbe, Bérénice, Luc Gilson, Jean-Paul Andret, Kathryn Brahy, Dominique Demoulin ... mais aussi deux invités bien connus de RTL : Philippe Bouvard et Georges Lang.
Pour cette spéciale, ils joueront en couple : une personne du public et une figure de la chaîne.

Ils seront confrontés aux animateurs et journalistes de RTL TVI, aux meilleurs joueurs du 71 depuis 4 ans, et à 20 personnes âgées d'exactement 20 ans.
Et pour fêter ses 20 ans, des questions spéciales sur l'histoire de la chaîne mais aussi sur l'actualité de ces 20 dernières années !

Un moment avec un peu de nostalgie et surtout beaucoup de rires et d'humour en perspective

17/10/2007


RADIO 17 octobre 2007

Ce 25 octobre, un tête à tête avec Julie Taton ainsi qu’une visite des coulisses du Good Morning seront mis aux enchères sur Ebay.

Les profits seront reversés à une association pour les enfants atteints de fente labio-palatine (bec de lièvre)

Récemment élue plus beau sourire francophone, Julie Taton s’en servira donc pour le rendre aux enfants atteints d’une fente labio-palatine.

Cette action est organisée dans le cadre d’ «Offrons un sourire », association fondée en 2001. Elle a pour but d'aider les parents d'enfants nés avec une fente labio-palatine, une malformation congénitale de la lèvre ou de la mâchoire.

McDonald's soutient depuis le début le projet "Offrons un sourire" par la vente, par exemple, de bics ou de porte-photos dans ses restaurants.

De cette façon, plus de 800.000 € ont déjà été collectés depuis 2001 et donc plus de 700 enfants ont pu être soignés.

Pour décrocher un tête-à-tête avec Julie et rendre le sourire aux enfants : rendez-vous du 25 octobre au 3 novembre sur Radio Contact… (6h30-10h)

Cédric Baufayt


13/10/2007

Ils s'aiment.



Ils s’aiment
Bérénice et Jean-Michel Zecca le montrent sur scène.

Sur les planches seulement, car dans la vie, ces deux bons copains vont chacun leur petit bonhomme de chemin.

Si Bérénice avait déjà foulé les planches (La bonne planque et La rencontre infernale ), elle entraîne avec elle, cette fois, Jean-Michel Zecca pour qui c’est une première.

Ensemble, ils se sont approprié neuf des douze sketches écrits par Muriel Robin et Pierre Palmade.

Les mots sont toujours là, bien classiques, bien connus, mais avec de temps en temps un petit clin d’œil à la carrière des deux animateurs de RTL.Parlons-en de cette grosse machinerie radiotélévisée.

Si elle assure très efficacement le battage médiatique, elle ne peut rien pour le reste.

Sur scène, c’est bien Bérénice et Jean-Michel Zecca qui seront jugés.

A eux donc de réussir à se glisser dans les rôles, quasi d’anthologie, crées par Pierre Palmade et Michèle Laroque.

Quand d’autres acteurs s’y risquent, on sourit avec indulgence, mais ici le challenge est de taille.

Bérénice et Jean-Michel Zecca sont attendus de pied ferme.

Pensez donc, des animateurs qui osent jouer aux comédiens !

C’est comme si Johnny Hallyday voulait faire du cinéma ou Bernard Tapie du théâtre !

Et pourtant…

S’il n’est jamais évident de changer de créneau, si tout le monde ne devient pas comédien ou chanteur comme il veut, si chaque métier a ses règles, ses tabous et ses chasses gardées, Bérénice et Jean-Michel Zecca réussissent à plaire.

Les deux animateurs, qui se disent eux-mêmes assez soupe au lait, deviennent facilement ces couples pleins de vie, d’amour et de mauvaise foi.

Il est vrai que les mots sont bien choisis, criants de vérité, qu’on s’y reconnaît tous un peu (ou beaucoup).

Les deux (et demi au vu du petit ventre de Bérénice) bougres ont soigneusement préparé le spectacle.

Ils ont confié la mise en scène à Olivier Leborgne, ce spécialiste de l’impro n’en est pas à sa première expérience (Les fines bouches, La Demoiselle, L'Affrontement).

Il réussit à faire des deux animateurs radio des couples crédibles.S’ils peinent un peu par instants dans les scènes plus statiques, ils réussissent avec brio les parties plus parodiques, les mimiques et les grimaces.

Et leurs petits manquements sont agréablement compensés par la générosité, la chaleur qu’ils mettent dans leur jeu, ainsi que par la complicité amusée que l’on perçoit entre eux.

Et le public ne s’y trompe pas.

S’il est venu pour voir ses animateurs, il en ressort content et ravi de ce Ils s’aiment qui ne les a pas déçus une seconde.
Muriel Hublet

07/10/2007

Julie Taton, grand concours 9/10/2007


Lors de la deuxième manche, les premiers candidats sélectionnés lors de la première manche pourront choisir les premiers entre 12 catégories (Art et culture, Musique, People, Télé, Environnement).

Cette fois tout est une question de stratégie avec le choix de type de questions.
Ce soir, ce sont 12 candidates " Miss Belgique " qui s'affrontent :
Audrey Hanrot

Irène Godin

Huberte Box

Maude AlinHalima Chehaima

Julie Taton

Danièle Defrère

Vanessa Noville

Céline Degives

Myriam Debuy

lCéline Chariot

Evy Van Cauwenberghe
Elles se verront confrontées à des questions de culture générale et, lors de la dernière manche, à des questions correspondant à leur métier ou particularité.

A la fin de cette partie, il ne restera plus que 3 candidats.

Des questions toujours de culture générale mais aussi se rapportant à leur métier ou spécificités leur seront posées.

Celui qui arrivera le premier à 6 bonnes réponses sera le grand gagnant de l'émission...
L'aventure ne s'arrêtera pas là pour les deux premiers car ils devront à nouveau s'affronter lors de la finale du « Grand Concours » qui réunira les 2 meilleurs de chaque catégorie.

02/10/2007

Ils s'aiment...sur scène.



Dès jeudi prochain, Jean-Michel Zecca et Bérénice reprennent le spectacle de Palmade et Michèle Laroque
BRUXELLES "C'est fou, depuis ce matin on n'arrête pas de recevoir des SMS de félicitations ! Certaines personnes sont persuadées qu'on est vraiment mariés..."
Et c'est vrai que, pour sa couverture, le dernier Ciné-Télé-Revue a fait fort.
Jean-Michel et Bérénice y apparaissent en tenue de jeunes mariés avec écrit en grand "Ils se sont mariés" .
Bien sûr, il s'agit d'un clin d'oeil à leur spectacle, la reprise de la pièce Ils s'aiment .
"Dès qu'on lit l'article, on comprend de quoi il s'agit.
Mais il y a des gens qui n'achètent pas et qui voient juste la couverture chez leur libraire.
Et là, ils peuvent penser que c'est vrai..."
Et Bérénice de renchérir sur le ton de la plaisanterie : "Moi, ma belle-mère m'a appelée. Elle m'a dit qu'elle n'avait pas reconnu son fils sur la photo (rires)".
Avec la complicité qui vous unit, ça ne doit pas être la première fois que des gens s'imaginent que vous êtes ensemble...
Bérénice : "Bien sûr, y compris certains de nos collègues. D'autant qu'à une époque on a vécu ensemble. Pour me dépanner, Jean-Michel m'a proposé de vivre chez lui. En contrepartie, je lui faisais ses chemises."
Comment vous vous êtes connus ?
Bérénice : "À la radio, sur Chérie FM. Je faisais une rubrique de potins de stars dans son émission."
Jean-Michel : "Pour l'anecdote, notre complicité est née grâce à mon ex-femme ! À l'époque, mon épouse croyait nécessaire de me faire des tartines pour le midi. Elles étaient excellentes, mais je ne les mangeais jamais. Du coup, Bérénice, par l'odeur alléchée, venait les manger. Et c'est comme ça qu'on a fait vraiment connaissance."
Comment définissez-vous votre relation ? Comme frère et soeur ?
Jean-Michel : "Non, ce n'est même pas ça. C'est assez indéfinissable."
Bérénice : "En fait, je suis un peu comme son pote. Oui, c'est ça..."
Il n'y a jamais eu d'ambiguïté dans votre relation ?
Bérénice : "Non, pour la simple raison que je ne suis pas son genre."
L'idée de la pièce est née comment ?
Jean-Michel : "Elle vient de notre producteur, Salvatore. On était au resto ensemble et, en nous voyant très en verve, il s'est dit que la pièce de Palmade nous irait à merveille."
Si Bérénice a déjà fait de la scène, avec Pirette notamment, c'est une première pour vous, Jean-Michel ?
Jean-Michel : "Si on excepte à la fancy-fair de l'école à l'âge de 12 ans, oui ! Je suis donc encore dans une phase d'apprentissage avec le metteur en scène, Olivier Leborgne."
Qu'est-ce qui est le plus dur ?
Jean-Michel : "Les subtilités du jeu d'acteur. Parfois, on pense qu'on a la bonne intonation et le metteur en scène veut autre chose."
Bérénice : "Pour moi, le plus dur, ça a été d'apprendre le texte par coeur. Ça m'a rappelé les périodes de blocus pendant les examens."
Vous vous reconnaissez dans la pièce ?
Bérénice : "On a l'impression que ça a été écrit pour nous. C'est tellement proche de la réalité."
Jean-Michel : "Cette semaine, on s'est engueulés pendant les répétitions. On avait l'impression que c'était tiré de la pièce !"
Bérénice : "On est deux grandes gueules, donc ça pète vite entre nous. Heureusement, dans ma vie de couple, ce n'est pas la même chose. Mon compagnon a tout compris : il me laisse piquer mes crises !"
Vous avez peur que le public ne réponde pas présent ?
Jean-Michel : "Oh oui, ça me réveille même la nuit."
Bérénice : "Il y aura quand même l'effet de curiosité. Mais après..."
Réponse dans une semaine.
Propos recueillis par Frédéric Seront
© La Dernière Heure 2007

26/09/2007


Ils sont les meilleurs amis du monde et vont jouer au théâtre « Ils s’aiment ! ». En marge de cet événement, en exclusivité pour « Ciné-Télé-Revue », Jean-Michel Zecca et Bérénice se livrent à deux comme ils ne l’ont jamais fait.
— Jean-Michel, quand on est animateur, on est un peu comédien, mais l’envie de monter sur scène était-elle là depuis longtemps ou l’occasion a fait le larron ?

— C’est plutôt l’occasion qui a fait le larron. Au cours d’un dîner, il y a plus d’un an, un copain producteur nous a lancé : « Quand vous êtes à deux, on dirait que vous formez un vieux couple ! » Ce qui est vrai, en plus ! Dans la foulée, il nous a proposé de monter « Ils s’aiment ! ». Je n’étais pas obsédé par cette perspective, d’autant que lorsqu’on a l’étiquette de la télé, il n’est pas facile de s’imposer dans un autre domaine.

— Le choix de la pièce vous a-t-il plu d’emblée ?

— Bérénice : Oui, ça nous correspondait bien. Les comédiens originaux, Michèle Laroque et Pierre Palmade, sont eux aussi très potes et s’entendent à merveille. Après ça, il a fallu se jeter dans le boulot !

— J.-M. : Moi, j’étais impressionné par le volume du texte ! Comme il n’y a que deux personnages, les répliques sont énormes. Pour une première expérience, c’était un peu flippant !

— C’est retenir le texte qui vous effrayait le plus ?

— J.-M. : Oui. A l’école, j’ai toujours eu du mal à apprendre par cœur. Mais, finalement, je me suis rendu compte que c’était moins compliqué que cela ne paraissait. En revanche, ce qui est plus ardu, ce sont les nuances à rendre.

— On critique assez facilement les gens de télé se frottant à d’autres disciplines. Pourquoi ?

— J.-M. : Parce qu’on pense que nous ne serons pas crédibles ailleurs…

— B. : Parce que nous n’avons pas fait d’école. Un comédien qui bosse à la télé, par exemple, possède un parcours classique passant par le Conservatoire ou une académie.

— Jean-Michel, vous êtes leader des audiences sur RTL-TVI à 18 h 30, avec « Septante et un », leader des audiences sur Bel RTL à 8 h 30, avec « Beau fixe »; votre parcours dans l’audiovisuel est déjà très riche. Vous aviez besoin d’un défi supplémentaire, qui vous excite davantage ou différemment ?

— Il y a de ça. C’est agréable de respirer un autre air de temps en temps. Et judicieux de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Voilà maintenant huit ou neuf ans que je travaille à la télé et j’arrive à un stade où je souhaite diversifier mes activités. Dans un tout autre registre encore, je prépare un livre de cuisine avec des recettes du sud de l’Italie, celles de mon père, aujourd’hui disparu. Et il n’est pas exclu que j’ouvre un jour un restaurant. Pour ce qui est du théâtre, je ne m’y lance pas dans le but de devenir comédien. Je souhaite d’abord me divertir ! Si cette production a du succès, si nous ne sommes pas l’objet de critiques assassines et si, dans l’ensemble, on me trouve, justement, crédible, mot que j’employais tout à l’heure, il n’est pas exclu que je récidive.

— Vous, Bérénice, vous avez déjà joué dans « La bonne planque » et « La rencontre infernale », et vous ne cachez pas que votre truc, c’est la scène !

— Je suis super heureuse quand j’y suis

Plus qu’à la radio et à la télé ?

— Pas nécessairement, mais j’ai eu la chance d’être engagée dans deux comédies, registre qui me convient parfaitement. De la même façon, sur les ondes, je ne rêve pas de présenter les infos ! Donc, j’espère qu’après « Ils s’aiment ! », il y aura d’autres projets. D’autant que j’ai du temps. Je sévis certes chaque jour à la radio, mais beaucoup moins à la télé…

— C’est vrai que, de ce côté-là, vous n’êtes pas débordée…— On peut le dire ! Pour l’instant, en Belgique, est prévu un « Grand test » sur le permis de conduire (le 30 septembre) et, en France, sur TF 1, je continue ma rubrique dans « Les enfants de la télé ».

— Entre le petit écran et vous, il y a un rendez-vous manqué ?

— Sûrement ! Mais si les patrons veulent rattraper ça, il faut qu’ils se dépêchent : je ne rajeunis pas !— Vous avez évolué en duo sur Bel RTL, vous vous apprêtez à le faire sur les planches. A la télé, ça vous tenterait ?

— J.-M. : C’est l’un de mes grands regrets !

— B. : Nous sommes apparus une fois ensemble.

— J.-M. : Oui, dans la première de « Ça alors ! ». Bérénice faisait partie de l’équipe qui cherchait un chroniqueur. Elle a donné mon nom, j’ai passé un casting et j’ai été engagé. A l’époque, je sévissais sur Nostalgie, dans un jeu de midi. Par la suite, j’ai rejoint Bel RTL, où j’ai retrouvé Bérénice. C’est là que nous avons créé « Départ immédiat ». D’ailleurs, en répétant « Ils s’aiment ! », je retrouve des automatismes acquis dans cette émission.— Vous vous connaissez depuis longtemps et vous vous êtes rencontrés grâce à la radio…

— B. : Oui, à Chérie FM.

— J.-M. : J’y travaillais et, un jour, un collaborateur du service commercial revient d’un club de sport et dit : « J’ai discuté avec une nana de la réception qui est mignonne et qui a une très jolie voix. » Il était à ce point sous le charme qu’il lui a suggéré de venir à la station faire des essais devant le micro. Bérénice n’a pas hésité. C’est donc là que j’ai vu débarquer une jeune femme sapée comme Mary Poppins et qui pesait trente kilos de plus qu’aujourd’hui !

— B. : J’étais une autre moi-même…

— J.-M. : On s’est très vite rendu compte qu’elle passait vachement bien à l’antenne et, dans l’émission dont je m’occupais, elle a pris en charge les potins de stars lus dans la presse. Nous avons rapidement sympathisé et nous ne nous sommes plus jamais perdus de vue. C’était il y a quinze ans.— Qu’est-ce qui vous a plu chez elle ?

— J.-M. : A l’époque, quand vous la voyiez débarquer, vous aviez l’impression que c’était votre petit-cousin ! Elle ne faisait pas très fille ! En réalité, je me suis rendu compte qu’une fois qu’elle a décidé de faire sa fille, tout est surmultiplié chez elle. Elle est trois fois plus jolie que les autres, trois fois plus féminine, mais aussi trois, quatre, voire cinq fois plus emmerdante qu’une autre ! Autrefois, c’était par périodes, maintenant, c’est tout le temps ! Le charme opère toujours, mais c’est un personnage qu’on doit apprivoiser… Nous nous disputons souvent et nous nous sommes déjà sérieusement engueulés jusqu’à ne plus nous parler.

— Combien de temps ?

— B. : Trois semaines.

— J.-M. : Grand maximum !

— Et vous, Bérénice, qu’est-ce qui vous a séduite chez lui ?

— D’entrée de jeu, son charme. Je comprends qu’autant de filles se jettent à ses pieds ! De plus, il a beaucoup d’humour, et ce n’est pas une légende : faire rire une fille, c’est la séduire. Donc, un type comme ça, on a forcément envie de l’avoir près de soi. Beaucoup commettent la bêtise de vouloir être trop près de lui. (Rires.) Moi, j’ai préféré qu’il devienne mon meilleur ami.

— Donc, pour le garder longtemps près de soi, il vaut mieux en faire son ami que son amant…

— B. : Vous en tirez la conclusion que vous voulez…

— J.-M. : Venant d’elle, je prends ça comme un compliment…

— Bérénice, il vous trouve donc beaucoup plus casse-pieds que la plupart des filles. Et lui, qu’a-t-il comme défauts ?

— Il n’est jamais à l’heure. Souvent, il jure qu’il ignore un truc que je lui ai dit et redit, genre un dîner où nous devons nous rendre. Dans le fond, il sait parfaitement qu’il a tort, mais il ne le reconnaît jamais !

— Philippe Soupault disait : « Le principal ennemi de l’amitié, ce n’est pas l’amour. C’est l’ambition. » Vous êtes d’accord ?

— B. : Non, parce que nous ne sommes pas concurrents.

— J.-M. : Je pense que l’ambition est le principal ennemi de l’amour, pas de l’amitié. Il faut en tout cas être prudent lorsque, dans un couple, on exerce le même métier.— Une seconde pensée, de Jules Renard : « Amitié : mariage de deux êtres qui ne peuvent pas coucher ensemble. »

— J.-M. : Sacré Jules ! (Rires.) Quand on est ami avec une nana comme elle, forcément, on peut avoir envie de coucher avec elle. Mais lorsqu’on passe ce cap-là, c’est assez fabuleux. Les ruptures amoureuses sont plus fréquentes que les ruptures d’amitié. Il est bien plus facile de ne plus voir une ex que de ne plus voir une amie. Je suis heureux qu’ensemble, nous ayons construit autre chose, même si, à un moment, j’ai été amoureux d’elle.

— B. : On pourrait très bien coucher ensemble, mais pas être ensemble.

— J.-M. : Soyons francs : on s’est posé la question, mais nous avons estimé l’un et l’autre que l’idée n’était pas bonne parce qu’elle était susceptible de mettre à mal notre amitié. Autant nous formons un formidable duo d’amis, autant nous ne constituerions pas un couple solide.

— B. : A une époque, nous étions l’un et l’autre célibataires. Je vivais entre deux appartements et je suis allée m’installer provisoirement chez lui.

— J.-M. : C’était plutôt troublant…

— B. : D’autant qu’on s’entendait hyper bien. Il préparait à manger, je m’occupais du repassage, nous regardions les mêmes programmes à la télé…— Vos amoureux(-ses) respectifs(-ves) ont été des motifs de brouille entre vous ?

— J.-M. : Elle n’a jamais supporté mes petites amies ! Je reconnais que, maintenant, ça va mieux. Elle ne peut pas les encadrer au début, mais, par la suite, elle peut en faire ses meilleures copines.

— B. : C’est vrai pour une seule ! Je suis certes un peu possessive, mais il est faux que je rejette d’emblée ses petites amies.

— J.-M. : Et je reconnais de mon côté que j’ai toujours eu du mal avec ses mecs !— C’est de la jalousie ou vous voulez protéger l’autre d’une personne qui, à vos yeux, ne lui convient pas ?— J.-M. : Aujourd’hui, elle a un mari, donc les choses sont différentes. Ce n’était pas de la jalousie, mais j’avais peur qu’elle m’échappe et que la fréquence de nos relations soit bouleversée.

— B. : C’était plus de la possessivité. Moi aussi, je craignais qu’on me le prenne. Et puis, c’était aussi de sa faute. Son comportement pouvait changer, parce qu’il aimait faire le beau devant ces filles…— Vous avez plutôt bien résisté à tout cela…

— J.-M. : Elle a beaucoup élagué !

— B. : Oui, j’ai fait un peu le ménage… (Rires.)

— Vous vous êtes mariée avec Philippe Bourgueil l’année dernière, en Polynésie. Jean-Michel s’entend bien avec lui ?

— Oui, même s’ils ne se connaissent pas encore très bien.

— J.-M. : Philippe est souvent à Paris pour son travail et, lorsque j’y suis, on se téléphone et on mange ensemble. C’est un très chouette garçon !

— Vous vous apprêtez à être maman dans un contexte un peu particulier, puisque, initialement, le bébé n’était pas dans la pièce !

— Oui, ce n’était pas prévu, mais le metteur en scène et le producteur n’ont qu’à se débrouiller pour adapter les costumes et le texte ! (Rires.) Je suis folle de joie : la naissance est pour février, mais j’assumerai les représentations d’« Ils s’aiment ! » jusqu’à la mi-décembre.

— J.-M. : Nous les avons gâtés, nos amis, puisque, cet été, dans le même temps, ils ont appris que Bérénice était enceinte et que j’avais le genou en compote !
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Sources: Ciné Télé Revue

25/09/2007

21/09/2007